Peinture et musique, danse et texte, improvisations musicales en duo, trio ou quatuor ou encore ciné-concerts : autant d’occasions de repousser les murs de la création et de redessiner à plusieurs de nouvelles frontières… Le Wild Performing est une expression artistique radicale. Ni programme, ni partition, ni lieu prédestiné, aucune trace laissée si ce n’est émotionnelle. Parfois même, pas ou peu de public. Alors… expression artistique ou affirmation de ce que l’on est ?
Avec Olivier Pinto Correia, seules traces laissées par cette approche radicale, un clip et une improvisation a cappella dans des genres complètement différents. Avec le clip « Amor Libertad », nous voici avec une guitare accordée A 432 : quand la variété invite l’opéra et les voix célestes. Rendez-vous avec la paix et une certaine forme de silence dans « Sollicitude ». Il s’agit dans ces 2 pièces, de compositions spontanées ; ni partition, ni concertation préalable, pas de micro, de mixage, rien de prévu : ça sort comme ça sort !
Sollicitude
7 for a secret…
1 for sorrow / 2 for joy / 3 for a girl / 4 for a boy / 5 for silver / 6 for gold / 7 for a secret never told etc.
« 7 for a secret » is a reflection on the borders of performance : stage/audience ; inside silence/outside move, sound, look ; present/futur ; move/sound etc. In other words, a reflection on alterity, on the right choice made at this fundamental moment : the first impulse of the Self connecting to the « Other » (environment, people, feelings, emotions…)
This simple lullaby reminds us…
1°) The existence of our psychic virginity, this space where I can be who I really am
2°) The importance of the experiment within the gigantic and paradoxical field of life
3°) The absolute necessity to make it through, to find the good balance, synonym of my way of being. My secret never told…
At first, « 7 for a secret » has been conceived as the lead wire of a solo interactive performance, including modal music, voice games, video and poems (Léonard Cohen, Verlaine, personal poetry etc.) Presenting the project in different spaces and residencies, it naturally opened itself to the participation of other creators, for instance Saint Huître, poet gardener, or Théo Vignault, photographer.
1 for sorrow (duet with Aurélie Hartmann, violin)
3 for a girl (solo)
https://www.youtube.com/watch?v=8MmQIpnCs8c
4 for a boy (quintet)
https://www.youtube.com/watch?v=-bGX_ElRCa0
Même déclinaison thématique avec les photos de Théo Vignault dans le cadre de l’exposition « Thank 2 » qui propose la même Lullaby – cette fois-ci en 12 tableaux.
One for sorrow
Ne jamais oublier
La Lune aussi
Attend
Son Ciel
Two for joy
Là
Maintenant
Petit coin ou
Grand écran
Cristal en pilier
De l’enfance
Four for a boy
Par l’évidence
Diapason ou fil à plomb
Le (re)connaître